Cours Napoléon. De gauche à droite, les élus Jean-Pierre Aresu, Nicole Ottavy et Caroline Corticchiato en présence du maire Stéphane Sbraggia.
Après plus de 5 ans de travaux, la requalification du cours Napoléon est désormais finalisée. Ce chantier stratégique, qui représente un budget global de 5 millions d’euros, était l’un des projets majeurs en lien avec l’aménagement du cœur de ville.
Sa réalisation constitue, en effet, un maillon essentiel de la stratégie de redynamisation et d’attractivité du centre-ville. Il a été effectué sous entière maîtrise d’œuvre de la Ville d’Ajaccio.
Axe névralgique reliant la partie Est à la partie Ouest de la ville, le cours Napoléon n’avait pas connu de travaux structurels de cette envergure depuis près de 40 ans.
Les différentes études et diagnostics menés le long de l’artère avaient révélé, avec le temps, des contraintes cumulées en matière de circulation et de stationnement, ou encore de vétustés des réseaux.
À ce titre, la conduite de ce projet – qui s’inscrit pleinement dans le programme national “Action cœur de ville”, en faveur de la redynamisation et de l’attractivité du centre-ville, ainsi que dans l’ambitieux programme d’aménagement “Ajaccio 2030” – se trouve au carrefour des politiques portées par l’exécutif municipal en matière d’interconnexion des quartiers, de réorganisation des mobilités, dans le cadre du plan de déplacement urbain (PDU), ou encore de développement de l’offre commerciale et culturelle.
“Ce projet constitue une étape clé pour repositionner l’hypercentre ajaccien”, relevait à l’époque Stéphane Sbraggia.
Désormais achevés, les aménagements, dont le cours Napoléon a bénéficié, contribuent à donner un nouveau visage au centre-ville ajaccien. Ils font écho à la requalification de la place Campinchi et de sa halle, à la revégétalisation de la place Foch qui vient de se terminer, ou encore à la requalification en cours de la place du Diamant.
Sa réalisation constitue, en effet, un maillon essentiel de la stratégie de redynamisation et d’attractivité du centre-ville. Il a été effectué sous entière maîtrise d’œuvre de la Ville d’Ajaccio.
Axe névralgique reliant la partie Est à la partie Ouest de la ville, le cours Napoléon n’avait pas connu de travaux structurels de cette envergure depuis près de 40 ans.
Les différentes études et diagnostics menés le long de l’artère avaient révélé, avec le temps, des contraintes cumulées en matière de circulation et de stationnement, ou encore de vétustés des réseaux.
À ce titre, la conduite de ce projet – qui s’inscrit pleinement dans le programme national “Action cœur de ville”, en faveur de la redynamisation et de l’attractivité du centre-ville, ainsi que dans l’ambitieux programme d’aménagement “Ajaccio 2030” – se trouve au carrefour des politiques portées par l’exécutif municipal en matière d’interconnexion des quartiers, de réorganisation des mobilités, dans le cadre du plan de déplacement urbain (PDU), ou encore de développement de l’offre commerciale et culturelle.
“Ce projet constitue une étape clé pour repositionner l’hypercentre ajaccien”, relevait à l’époque Stéphane Sbraggia.
Désormais achevés, les aménagements, dont le cours Napoléon a bénéficié, contribuent à donner un nouveau visage au centre-ville ajaccien. Ils font écho à la requalification de la place Campinchi et de sa halle, à la revégétalisation de la place Foch qui vient de se terminer, ou encore à la requalification en cours de la place du Diamant.
Un chantier mené en plusieurs phases
Le maire Stéphane Sbraggia et ses adjoints sur la Piazzetta avec au centre de l'image, Xavier Luciani, Directeur Général des Services Techniques de la Ville.
L’ensemble de la conception et du suivi des travaux a été réalisé par le bureau d’études de la Direction générale des services techniques (DGST) de la Ville d’Ajaccio, avec l’appui de nombreux services municipaux, comme les directions de l’environnement, du patrimoine viaire et du commerce, intégrées à la Direction générale adjointe Environnement, Cadre de vie et Attractivité, mais aussi de services de la Communauté d’Agglomération du Pays Ajaccien.
Afin de limiter les conflits d’usages et de préserver le tissu commercial durant les travaux, la Ville a choisi de privilégier une stratégie reposant sur plusieurs ateliers d’intervention. Chaque nouvelle phase a donné lieu à une concertation étroite avec les commerçants et les riverains. Cette requalification a ainsi donné l’opportunité de repenser les usages d’occupation commerciale, en accord avec la charte du domaine public de la Ville.
Désormais, le nouveau cours Napoléon offre aux riverains et à ses usagers un cadre modernisé et embelli, sur la base d’un environnement patrimonial préservé, tant par le choix du revêtement des trottoirs, en pierre de granit de San Giacomo, venu de Sardaigne, de son mobilier urbain, que de son nouvel éclairage public à LED basse consommation.
De plus, dans le droit fil des recommandations de l’architecte des bâtiments de France (ABF), cinq secteurs ont bénéficié d’un traitement particulier: la rénovation du parvis de l’église Saint-Roch, les secteurs de la préfecture et de l’avenue Pascal Paoli, ainsi que la place de l’ancien théâtre Saint-Gabriel, réaménagée à l’identique pour préserver ses dalles en pierre de Brando et ses tomettes. Sans oublier, la reconfiguration de la piazzetta, qui offre une nouvelle perspective paysagère en bas du cours.
Les aménagements structurels menés sur l’artère ont notamment permis d’élargir les trottoirs, d’adapter les voies de circulation, de créer trois plateaux traversants sur les secteurs Saint-Roch, préfecture et avenue Pascal Paoli, le tout garantissant une meilleure sécurité pour les piétons. Enfin, les nouveaux candélabres ont été implantés en cohérence avec le schéma directeur territorial de modernisation de l’éclairage public.
La réussite de ce chantier est aussi le résultat de l’implication forte de plusieurs entreprises, notamment TP DEBENNE (trottoirs), Corsovia (chaussée), COVIDEP (signalétiques horizontales), Raffali TP (éclairage public), AGEX (détections réseaux), SESCO (mobilier urbain).
Afin de limiter les conflits d’usages et de préserver le tissu commercial durant les travaux, la Ville a choisi de privilégier une stratégie reposant sur plusieurs ateliers d’intervention. Chaque nouvelle phase a donné lieu à une concertation étroite avec les commerçants et les riverains. Cette requalification a ainsi donné l’opportunité de repenser les usages d’occupation commerciale, en accord avec la charte du domaine public de la Ville.
Désormais, le nouveau cours Napoléon offre aux riverains et à ses usagers un cadre modernisé et embelli, sur la base d’un environnement patrimonial préservé, tant par le choix du revêtement des trottoirs, en pierre de granit de San Giacomo, venu de Sardaigne, de son mobilier urbain, que de son nouvel éclairage public à LED basse consommation.
De plus, dans le droit fil des recommandations de l’architecte des bâtiments de France (ABF), cinq secteurs ont bénéficié d’un traitement particulier: la rénovation du parvis de l’église Saint-Roch, les secteurs de la préfecture et de l’avenue Pascal Paoli, ainsi que la place de l’ancien théâtre Saint-Gabriel, réaménagée à l’identique pour préserver ses dalles en pierre de Brando et ses tomettes. Sans oublier, la reconfiguration de la piazzetta, qui offre une nouvelle perspective paysagère en bas du cours.
Les aménagements structurels menés sur l’artère ont notamment permis d’élargir les trottoirs, d’adapter les voies de circulation, de créer trois plateaux traversants sur les secteurs Saint-Roch, préfecture et avenue Pascal Paoli, le tout garantissant une meilleure sécurité pour les piétons. Enfin, les nouveaux candélabres ont été implantés en cohérence avec le schéma directeur territorial de modernisation de l’éclairage public.
La réussite de ce chantier est aussi le résultat de l’implication forte de plusieurs entreprises, notamment TP DEBENNE (trottoirs), Corsovia (chaussée), COVIDEP (signalétiques horizontales), Raffali TP (éclairage public), AGEX (détections réseaux), SESCO (mobilier urbain).
La végétalisation du cours Napoléon, l'autre étape clé du chantier
Plantation d'arbre sur la Piazzetta par des agents de la direction de l'Environnement, du Végétal et du Littoral.
Débutée à l’hiver 2021-2022, la végétalisation du cours Napoléon a constitué un enjeu majeur pour la réussite de ce chantier. À l’instar de nombreuses villes, Ajaccio s’est engagée dans une démarche ambitieuse de végétalisation de son espace urbain. La volonté du maire, Stéphane Sbraggia, et de son adjointe déléguée à l’excellence environnementale, Caroline Corticchiato, est de repositionner durablement l’arbre au cœur de la ville, afin de lutter contre les îlots de chaleur et de participer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Des opérations de “verdissement” qui contribuent également à embellir les voies urbaines, à réduire les nuisances sonores des véhicules à moteurs et favorise la biodiversité.
Lors du diagnostic phytosanitaire préalable au démarrage du chantier, 14 espèces différentes avaient été identifiées le long du cours Napoléon. Sur les 116 arbres existants, 65 ont été conservés ou soignés. Parallèlement, la Ville a étoffé le tissu végétal du cours Napoléon de 127 nouveaux arbres, soit une augmentation de 67% du nombre d’arbres plantés. Sur l’ensemble des opérations de revégétalisation, le choix de jeunes plants revêt de nombreux avantages. En effet, un arbre plus jeune a de meilleures chances de s’acclimater, de vivre plus longtemps (la durée de vie d’un arbre sur voirie est d’environ 40 ans) et d’absorber davantage de carbone durant sa phase de croissance.
Lors du diagnostic phytosanitaire préalable au démarrage du chantier, 14 espèces différentes avaient été identifiées le long du cours Napoléon. Sur les 116 arbres existants, 65 ont été conservés ou soignés. Parallèlement, la Ville a étoffé le tissu végétal du cours Napoléon de 127 nouveaux arbres, soit une augmentation de 67% du nombre d’arbres plantés. Sur l’ensemble des opérations de revégétalisation, le choix de jeunes plants revêt de nombreux avantages. En effet, un arbre plus jeune a de meilleures chances de s’acclimater, de vivre plus longtemps (la durée de vie d’un arbre sur voirie est d’environ 40 ans) et d’absorber davantage de carbone durant sa phase de croissance.