Jardinerie Pianta
- Quel est le concept du commerce ?
Vous pouvez nous retrouver sur Instagram : pianta_jardinerie
- Quelles sont les raisons qui vous ont poussées à ouvrir en centre-ville ?
- Comment voyez-vous le développement du centre-ville, son avenir ?
Boutique ORMA
- Quel est le concept du commerce ?
Vous pouvez nous retrouver sur Instagram : orma_ajaccio
Un site internet est en cours de création.
- Quelles sont les raisons qui vous ont poussées à ouvrir en centre-ville ?
- Comment voyez-vous le développement du centre-ville, son avenir ?
- Quel est le concept du commerce ?
Sébastien Schar : c’est un restaurant de burgers. Nous proposons des « smash » burgers à l’américaine. Celui-ci se distingue d’un burger classique car la viande de bœuf est écrasée sur une plancha brulante à l’aide d’une presse. Il est ainsi « smashé » façon crêpe. Cela va créer une croûte caramélisée croustillante alors que la viande va rester moelleuse et juteuse à l’intérieur.
Vous pouvez nous retrouver sur les réseaux sociaux (facebook et instagram @baloosmashburger) mais également sur notre site internet www.baloosashburger.com. Alors n’hésitez plus et passer commande, vous ne le regretterez pas !
Nous sommes ouverts du lundi au vendredi de 12h00 à 15h00 et de 18h00 à 23h00 et le samedi et dimanche de 18h00 à 23h00.
- Quelles sont les raisons qui vous ont poussées à ouvrir en centre-ville ?
Sébastien Schar : j’ai choisi le centre-ville car je souhaitai créer une activité au cœur de celui-ci. Ce local m’a attiré car il avait une histoire et une place centrale, qui m’a permis d’ouvrir ce concept attractif, pour permettre aux usagers du centre-ville de se restaurer rapidement.
- Comment voyez-vous le développement du centre-ville, son avenir ?
"J’espère que plus de commerces vont s’ouvrir afin de drainer plus de dynamisme et un commerce plus jeune. Il serait opportun de piétonniser certaines rues afin de créer une activité urbaine centrée sur le centre-ville. Cela permettrait aux clients d’avoir un parcours commerçant plus sympathique. Une amélioration du centre-ville est remarquée grâce à la Municipalité en place. Il y d’avantage de flux clients notamment lors du shopping de nuit. Nous sommes ravis".
- Quel est le concept du commerce?
"Le centre-ville est en train de prendre un nouvel essor, de s’embellir, il y a de nouvelles ouvertures notamment le cinéma. C’est une très bonne chose et cela va drainer d’avantage de flux en centre-ville. La Ville reprend ses titres de noblesses et j’en suis très heureuse."
Anne e Hill 1 rue du Docteur Stephanopoli
"La demande des clients est de revenir à des endroits de proximité"

- Quel est le concept de la boutique ?
Sandrine Cheter La Maison du Savon de Marseille propose une gamme de produits naturels et artisanaux pour le bain et le bien-être au quotidien. L’authenticité est le maître mot de la savonnerie depuis sa création et c’est ce qui confère du cachet à notre marque. Nous vendons des savons, des produits cosmétiques, des produits ménagers, des parfums d’ambiance. Tous ces produits sont "made in France". Nous travaillons également avec une gamme de produits corses à l’immortelle (huiles essentielles, eaux florales, crèmes de jour, crèmes pour le corps). Des ateliers pour apprendre à fabriquer des produits ménagers et cosmétiques vont être réalisés prochainement. Cela va se dérouler dans notre boutique avec différents créneaux horaires. La boutique est ouverte du lundi au samedi de 8h30 à 19h30 non-stop. J’ai hâte de rencontrer de nouveaux clients pour leur faire découvrir ma boutique et les produits proposés.
"Apprendre à fabriquer soi-même des produits ménagers et des cosmétiques"
- Quelles sont les raisons qui vous ont poussées à ouvrir en centre-ville ?
S.C. Pour moi, le centre-ville à une âme. Si les commerçants jouent le jeu et reviennent s’implanter au coeur de celui-ci il va reprendre vie. La demande des clients est de revenir à des endroits de proximité avec des produits naturels, il était hors de question de m’installer dans un centre-commercial.
- Comment voyez-vous le développement du centre-ville, son avenir ?
S.C. Je ne suis pas inquiète. Même si la boutique a ouvert dans des conditions difficiles liées à la Covid-19, les Corses ont été au rendez-vous. La clientèle à tendance à revenir à des valeurs plus saines, de proximité. Le commerce local est favorisé. Je m’en réjouis. La rue Fesch renaît. De nouveaux commerces s’ouvrent et c’est une très bonne chose.
- Cette épidémie Covid-19 a conduit de nombreux commerçants à se réinventer, quels services, quelles mesures d’hygiène proposez-vous à vos clients ?
S.C. Je propose du conseil-clients à distance. Les clients peuvent me contacter par téléphone ou sur Facebook et Instagram. Je peux ainsi les conseiller en fonction du type de produit recherché puis envoyer la commande via Mondial Relay. Cela permet de limiter les déplacements pour les clients qui préféreraient la commande à distance. Pour ce qui est de la boutique, le port du masque est obligatoire. Je limite le nombre de personnes à l’intérieur afin de sécuriser les clients.
- Quel est le concept de la boutique ?
Leila Bardon C’est une enseigne espagnole de bazar et de décoration à petit prix. Notre leitmotiv est de rendre la décoration amusante et accessible, conformément à notre ADN nice & price, et d’en faire un outil pour construire un lieu de vie où se sentir bien, à l’aise, détendus… en définitive heureux. Nous vendons différents types de produits : bougies, tapis, linges de maison, ustensiles de cuisine …
- Quelle sont les raisons qui vous ont poussées à ouvrir en centre-ville ?
L.B. Ce choix du centre-ville ne date pas d’hier. Il y avait un magasin de prêt à porter ici (Pimkie). La direction a choisi de conserver ce local en changeant d’enseigne. Nous avons vu en celle-ci le moyen de satisfaire la clientèle locale et de coller à leurs attentes. Ce choix de concept est né d’une réflexion liée à l’épidémie COVID-19 ou nous avons tous pu constater avec le confinement, que le bien-être se trouve à la maison.
- Comment voyez-vous le développement du centre-ville, son avenir ?
L.B. Je suis quelqu’un d’optimiste. On va pouvoir s’en sortir. Un changement s’opère. Depuis la pandémie, les clients sont revenus à des valeurs de proximité plutôt qu’à celles de la surconsommation. Et puis, nous voyons bien que la municipalité s’investit pour que le centre-ville renaisse.
- Cette épidémie COVID-19 a conduit de nombreux commerçants à se réinventer, quels services, quelles mesures d’hygiène proposez-vous à vos clients ?
L.B. Le port du masque est obligatoire pour les employés comme pour les clients. Un gel désinfectant est placé à l’entrée de la boutique et on limite également le nombre de personne dans le magasin afin de sécuriser la clientèle.
"J’aime l’idée de donner du dynamisme au cœur de ville"
- Quel est le concept de la boutique ?
Judith Zerbib C’est une boutique multi marques avec un concept de sport-chic. Nous travaillons avec des marques françaises : Compagnie de Californie, French Disorder, Culte, Karmazen et UZS. On a misé sur les couleurs, les matières et le style. Nous vendons du prêt-à-porter pour hommes, femmes et enfants.
- Quelle sont les raisons qui vous ont poussées à ouvrir en centre-ville ?
J.Z. La première raison est que j’adore le centre-ville et j’aime lui donner vie. Deuxièmement, je ne pourrai pas ouvrir un commerce dans un centre-commercial. Pour moi, la rue Fesch est une rue extraordinaire, car c’est la seule rue piétonne à Ajaccio. Ayant déjà une boutique Le Corner à l’entrée de celle-ci, je me suis dis pourquoi ne pas continuer dans cette optique et ouvrir un autre commerce. J’aime l’idée de donner du dynamisme au cœur de ville.
- Comment voyez-vous le développement du centre-ville, son avenir ?
J.Z. Je pense que le centre-ville a un très bon avenir. Les choses changent. De nouveaux commerçants ont également décidé de s’implanter dans cette partie de la rue Fesch je pense notamment à la Maison du Savon de Marseille et je trouve que c’est une bonne chose. J’espère qu’il y aura plus de commerces ouverts à l’année en cœur de ville.
- Cette épidémie COVID-19 a conduit de nombreux commerçants à se réinventer, quels services, quelles mesures d’hygiène proposez-vous à vos clients ?
« Nulle part ailleurs qu’en centre-ville »

- Quel est le concept de la boutique ?
Graziella Vadella Max Mara est une maison italienne de prêt-à-porter féminin. Le style est le « sport wear chic ». Nous sommes situés au 6 Rue Stephanopoli et nous serions ravies d’accueillir de nouvelles clientes dans notre boutique et de leurs faire découvrir l’univers Max Mara.
- Quelle sont les raisons qui vous ont poussées à ouvrir en centre-ville ?
G.V. J’aime le centre-ville et je déteste les galeries marchandes. J’ai également d’autres commerces en centre-ville et notamment à Bastia. J’ai toujours pensé que les commerces élitistes doivent se trouver en centre-ville pour pouvoir fonctionner correctement. Max Mara en tant que vitrine commerciale n’aurait pas pu être implantée ailleurs qu’en centre-ville.
- Comment voyez-vous le développement du centre-ville, son avenir ?
G.V. Je vois le développement de manière positive. Contrairement à ce que certains disent, je trouve que le centre-ville bouge. Les touristes et notamment les croisiéristes qui se rendent sur Ajaccio sont plutôt aisés et j’ai aimé travailler avec eux. Pour un touriste un nom de boutique ne signifie rien c’est pourquoi les marques sont essentielles. Le seul petit bémol est qu’il manque des panneaux indiquant les marques vendus par nous, commerçants de la rue Stephanopoli, à l’entrée de celle-ci car elle est moins passante que la rue Fesch ou le cours napoléon, mais n’en est pas moins essentielle. Ma demande permettrait de drainer d’avantage de clientèle dans cette rue.
« Le centre-ville nous permet de toucher une clientèle variée ainsi que la population touristique »
- Quelle sont les raisons qui vous ont poussées à ouvrir en centre-ville ?
- Comment voyez-vous le développement du centre-ville, son avenir ?