Georgia Susini, directrice du service Environnement et aménagements paysagers, Laurent Coppolani, chef de pôle espaces verts, Joël Prevost, chef d'équipe production horticole, Marie-Blanche, Dominique, Christian, André, agents polyvalents pépinière travaille depuis de longs mois pour relancer la production de la pépinière municipale.
Avec 24 ha d’espaces verts et 3 000 arbres d’alignement y compris les palmiers, la ville d’Ajaccio est une ville verte. Mais sans doute pourrait-elle l’être davantage. C’est pour développer le patrimoine paysager que la direction de l’environnement et des aménagements paysagers a eu comme mission de relancer la production de la pépinière municipale. Une renaissance après de trop longues années en sommeil.
« Relancer la production de la pépinière municipale va permettre de redonner à l’arbre toute sa place en ville », a déclaré Laurent Marcangeli, ce jeudi matin, lors de sa visite du site d’accueil de la future serre de production dédiée exclusivement à la production florale. Un outil indispensable au service de la politique de préservation de l’environnement, du développement durable et de l’économie de gestion de la Ville.
Depuis février, c’est toute une équipe de la direction Environnement et Aménagements Paysagers qui s’attèle à redonner de sa superbe à cet espace de 2,5 ha situé aux portes d’Ajaccio sur terrain appartenant à l’association diocésaine. Ce travail n’est que le début d’une démarche en terme d’auto-production qui permettra à la Ville dans un futur proche de réaliser ses propres plantations aussi bien de vivaces, d’annuelles, d’arbustes voire d’arbres sur l’ensemble des espaces végétalisés qu’ils soient urbains ou naturels. 5 000 boutures ont déjà été plantées cette année.
Pour le maire d’Ajaccio, il s’agit aussi « d’anticiper » et de « diversifier les variétés ». Les effets du changement climatiques, l’apparition de nouveaux nuisibles, imposent en effet désormais de savoir adapter les espèces.
« Relancer la production de la pépinière municipale va permettre de redonner à l’arbre toute sa place en ville », a déclaré Laurent Marcangeli, ce jeudi matin, lors de sa visite du site d’accueil de la future serre de production dédiée exclusivement à la production florale. Un outil indispensable au service de la politique de préservation de l’environnement, du développement durable et de l’économie de gestion de la Ville.
Depuis février, c’est toute une équipe de la direction Environnement et Aménagements Paysagers qui s’attèle à redonner de sa superbe à cet espace de 2,5 ha situé aux portes d’Ajaccio sur terrain appartenant à l’association diocésaine. Ce travail n’est que le début d’une démarche en terme d’auto-production qui permettra à la Ville dans un futur proche de réaliser ses propres plantations aussi bien de vivaces, d’annuelles, d’arbustes voire d’arbres sur l’ensemble des espaces végétalisés qu’ils soient urbains ou naturels. 5 000 boutures ont déjà été plantées cette année.
Pour le maire d’Ajaccio, il s’agit aussi « d’anticiper » et de « diversifier les variétés ». Les effets du changement climatiques, l’apparition de nouveaux nuisibles, imposent en effet désormais de savoir adapter les espèces.
Economies durables
Une production en régie pour une campagne annuelle de fleurissement à quantité égale permettrait à la commune de faire une économie de 22 550 €. Cette économie pourrait servir à augmenter les surfaces de fleurissement et fleurir de nouveaux quartiers de la ville.
exemple :
Fleurissement actuel : achat de 28 000 plants = 36 000 €
Fleurissement en production régie : achat de 28 000 plants = 9 458 €
exemple :
Fleurissement actuel : achat de 28 000 plants = 36 000 €
Fleurissement en production régie : achat de 28 000 plants = 9 458 €
Emulation pédagogique
Un tel outil aurait de plus une fonction pédagogique (agents des Espaces Verts, agents des grands sites, écoles de la ville et de la communauté d’agglomération) et constituerait aussi un vecteur d’expériences, de création et un superbe outil de formation.
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