Jean-Christophe Spinosi ce lundi après-midi en pleine répétition du concert "1809, Napoléon et la musique" (Photos Ville d'Ajaccio).
"Quelque chose de magique"
Jean-Christophe Spinosi et son orchestre au coeur de la chapelle impériale au dessus de la crypte où repose la famille Bonaparte.
15h00 au coeur de la chapelle impériale. Dans deux jours Jean-Christophe Spinosi va proposer un concert au format inédit de musiques sacrées à l'occasion de la date anniversaire de la mort de Napoléon. Réunis en arc de cercle au-dessus de la crypte où repose la famille Bonaparte, les musiciens de l'ensemble Matheus (en nombre réduit pour des raisons des contraintes actuelles) testent l'acoustique de la chapelle impériale pour le concert "1809, Napoléon et la musique". Les yeux fermés, Jean-Christophe Spinosi dessine des arabesques avec ses mains pour diriger les notes. "On est là pour créer quelque chose de magique", explique-t-il à ses musiciens. Et c'est déjà magique.
CARRIERE INTERNATIONALE
Pour le bicentenaire ajaccien, le chef d’orchestre a choisi de jouer un répertoire de musiques sacrées dont le Stabat Mater et le Nisi Dominus de Vivaldi en présence Filippo Mineccia. Le contreténor à la carrière internationale se tient debout devant l'autel, sa voix d'une parfaite limpidité monte et rempli les murs de la chapelle. Déjà, à ce stade des répétitions, le concert s'annonce fort en émotions.
CARRIERE INTERNATIONALE
Pour le bicentenaire ajaccien, le chef d’orchestre a choisi de jouer un répertoire de musiques sacrées dont le Stabat Mater et le Nisi Dominus de Vivaldi en présence Filippo Mineccia. Le contreténor à la carrière internationale se tient debout devant l'autel, sa voix d'une parfaite limpidité monte et rempli les murs de la chapelle. Déjà, à ce stade des répétitions, le concert s'annonce fort en émotions.
Programme du concert
Présentation du concert par Jean-Christophe Spinosi
Antonio Vivaldi - Nisi Dominus RV 608
Luigi Cherubini, ouverture de Pimmalione. Transcription pour clavecin
Antonio Vivaldi - Stabat Mater RV621
Domenico Scarlatti - Dormi, O fulmine di guerra, extrait de la Giuditta
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