Presse locale

Corse net infos, Cyclotourisme : La Corse, nouvelle destination Vélo avec les itinéraires GT 20 et INTENSE (16/03/2019).
Cyclotourisme : La Corse, nouvelle destination Vélo avec lesitinéraires GT 20 et INTENSE
Nicole Mari le Samedi 16 Mars 2019 à 22:17
Cyclotourisme : La Corse, nouvelle destination Vélo avec lesitinéraires GT 20 et INTENSE
Nicole Mari le Samedi 16 Mars 2019 à 22:17
Il y a le mythique GR20. Il y aura bientôt l’audacieux GT20, la Grande traversée du Capi Corsu à Bunifaziu, -le premier itinéraire cyclotourisme d’envergure de Corse en 13 étapes réparties sur 550 kilomètres -, et l’inédit INTENSE, un itinéraire méditerranéen cyclo-touristique durable transfrontalier entre l’Italie, la Corse et les Alpes maritimes. Portés par l’Agence du tourisme de la Corse (ATC), ces deux itinéraires ont été dévoilés par Nanette Maupertuis, samedi, au salon « Destinations Nature », Porte de Versailles à Paris, dont la Corse était l’invitée d’honneur. La conseillère exécutive et présidente de l’ATC explique, à Corse Net Infos, les enjeux du cyclotourisme, nouvelle tête de pont de l’offre mobilité douce et pleine nature de l’île.
Vous venez de présenter un itinéraire inédit: le GT20. De quoi s’agit-il exactement ?
Le GT20 est une offre touristique complètement nouvelle en Corse. C’est le premier circuit cyclo-touristique d’envergure, la grande traversée de Corse à vélo en 13 étapes. Le tracé Nord-Sud parcourt 550 kms, il part de Bastia pour atteindre Porti Vechju et Bunifaziu en passant par Ersa, San Firenzu, Belgudè, L’Algaghjola, Galeria, Portu, et l’intérieur de l’île: Verghju, Corti, Venacu, Ghisoni, Zicavu et Zonza. A cette dorsale principale pourront se raccorder des variantes du tracé qui emprunterait, par exemple, la Côte Orientale, le long de l’ancienne voie ferrée. Cette variante est déjà en cours de réalisation. L’objectif est de mettre en valeur les ressources naturelles de la Corse dans une logique de tourisme durable et de mobilité douce.
Le GT20, est-il relié au GR 20 ?
Oui! Vous avez noté le clin d’œil! Nous avons prévu, d’ailleurs, des points de ralliement entre ces deux itinéraires par exemple en forêt de Bonifatu, à Ascu, Calasima, Verghju, mais aussi à Vizzanova, Capanelle, Verde, Cuzza et Bavedda. Le GT 20 a pour vocation de structurer une offre globale de cyclotourisme en Corse sous ses différentes modalités: vélo de route, VTT et, petite nouveauté, vélo à assistance électrique. Nous allons créer la dorsale du tracé et y reconnecter des boucles cyclistes locales qui existent déjà dans certaines intercommunalités ou qui sont en cours de structuration, notamment en Plaine Orientale et en Balagne.
En même temps, vous dévoilez un second itinéraire dénommé INTENSE.
Quelle est la différence avec le GT20 ?
INTENSE est un itinéraire transfrontalier touristique durable novateur sur bien des plans et plutôt côtier. Il y a quelques mois, nous avons été retenus dans le cadre du programme INTERREG Marrittimo en collaboration avec la Toscane, la Ligurie, la Sardaigne et la Région PACA pour identifier des tronçons de parcours cyclo-touristiques sur des itinéraires emblématiques dans chacune de nos régions. Nous avons, donc, créé le parcours INTENSE (Itinerari turisticu sostenibili) qui ne couvre, chez nous, que l’Ouest de l’île, de la Balagne à Portu, en impliquant fortement les intercommunalités parcourues, mais toujours dans une interconnexion méditerranéenne. INTENSE s’inscrit, ainsi, dans les Routes européennes du cyclotourisme.
Les deux parcours ne se font-ils pas concurrence ?
Non! Le parcours INTENSE n’est pas du tout antinomique avec le GT20. Il propose une découverte de l’île et des visites en slow-tourisme et permet d’articuler un double parcours, par exemple, en Toscane et en Corse. Il est très complémentaire du GT20 auquel il viendra s’arc-bouter par une transversale Maree Monti dans le même esprit que celles qui existent déjà sur le GR20.-Pourquoi un telle offre dans le cyclotourisme?-Nous partons du constat que la Corse a un capital naturel d’exception. Ce n’est pas une nouveauté, mais nous voulons le faire découvrir sur un mode de mobilité douce avec un credo qui est la transition écologique, c’est-à-dire la protection de l’environnement. La Petite Reine offre un mode de découverte qui permet d’appréhender complètement les ressources naturelles de l’île, ses paysages exceptionnels, à un rythme qui dépend du touriste lui-même et qui est faiblement impactant en termes environnemental et en termes de CO2. L’ATC, dans sa feuille de route, a développé un cluster «Activités de pleine nature» en partenariat avec les professionnels du secteur. La Corse est devenue un grand terrain de jeu pour ce type d’activités. Nous pensons qu’il est absolument nécessaire de coordonner toutes ces offres et de faire en sorte qu’elles aient le moins d’impacts possibles sur l’environnement. Est-ce un marché florissant?
Oui! C’est un marché très florissant. La pratique cyclo-touristique est en plein développement. D’autres régions françaises ont des Grandes traversées. INTENSE est un partenariat avec d’autres parcours européens. Mais l’originalité de la Corse, c’est bien évidemment ses dénivelés et ses paysages. A chaque coup de pédale et à chaque tournant, un paysage nouveau surgit. L’offre est vraiment multiple. Je crois que là, on va vraiment frapper un grand coup !
Que proposez-vous exactement ?
Juste une proposition de tracé avec une logistique et une offre en hébergement: campings, hôtels... Mais aussi une logistique pour rapatrier les vélos et des bornes électriques sur tout le parcours pour les vélos électriques. Six bornes électriques ont déjà été placées à l’initiative de l’entreprise APPeBIKE sur la base d’une collaboration.Nous nous félicitons de ce partenariat avec cette start-up corse qui a déjà reçu des prix pour son innovation en termes de tourisme. Un partenariat sera prochainement noué avec les entreprises Bosch et Michelin, mais aussi avec d’autres, pour que ce grand tracé, auquel viendront se connecter les transversales et les petites boucles locales, soit le plus professionnel possible. Ensuite, chacun l’empruntera à son rythme. Comme le GR20, tout le monde ne pourra pas le faire dans son intégralité en dix jours.
Quel public ciblez-vous ?
L’activité cyclo-touristique se pratique, déjà dans l’île, en famille sur des petits parcours en boucle locale ou autour de la résidence dans l’aire de location. Nous ciblons, bien évidemment, les sportifs aguerris, qui aiment les performances et qui pourront attaquer les étapes de 50 kms aux dénivelés extraordinaires de 500 ou 600 mètres et même parfois de 1000 mètres puisque le tracé passe par les principaux cols de l’île. Mais aussi les jeunes, amateurs de VTT et tous les adeptes des activités de pleine nature. Les gens, qui ne sont pas très sportifs, ou les familles pourront utiliser le vélo à assistance électrique.Ceux, qui font du slow tourisme, pourront choisir de rester sur le plat. Ceux, qui veulent coupler plusieurs activités, pourront faire des variantes du GR20 et du GT20. Les plus téméraires pourront s’adonner au cyclotourisme de route sur des étapes plus longues avec des circuits raccordés à la dorsale.
Quel est le profil du cyclotouriste ?
Le cyclotouriste aguerri appartient à une catégorie socioprofessionnelle élevée à forts revenus élevés. Un vélo de route coûte relativement cher. Au terme de leurs étapes, ces personnes, qui suivent souvent des régimes alimentaires particuliers, souhaitent trouver des hébergements et une restauration de qualité. Les pays nordiques, la Belgique et l’Allemagne sont très friands de ce type d’activités.
Quel sera le coût de ces deux itinéraires ?
En ce qui concerne le GT20, l’ingénierie de l’ATC met en place le tracé et un service de coordination en collaboration avec les intercommunalités concernées et les professionnels. Financièrement, cette opération ne coûtera quasiment rien. Concernant INTENSE, le budget total est de 5 millions € et pourrait être abondés dans les mois à-venir. 85% de cette somme sont financés par les fonds FEDER.
Vous venez de présenter un itinéraire inédit: le GT20. De quoi s’agit-il exactement ?
Le GT20 est une offre touristique complètement nouvelle en Corse. C’est le premier circuit cyclo-touristique d’envergure, la grande traversée de Corse à vélo en 13 étapes. Le tracé Nord-Sud parcourt 550 kms, il part de Bastia pour atteindre Porti Vechju et Bunifaziu en passant par Ersa, San Firenzu, Belgudè, L’Algaghjola, Galeria, Portu, et l’intérieur de l’île: Verghju, Corti, Venacu, Ghisoni, Zicavu et Zonza. A cette dorsale principale pourront se raccorder des variantes du tracé qui emprunterait, par exemple, la Côte Orientale, le long de l’ancienne voie ferrée. Cette variante est déjà en cours de réalisation. L’objectif est de mettre en valeur les ressources naturelles de la Corse dans une logique de tourisme durable et de mobilité douce.
Le GT20, est-il relié au GR 20 ?
Oui! Vous avez noté le clin d’œil! Nous avons prévu, d’ailleurs, des points de ralliement entre ces deux itinéraires par exemple en forêt de Bonifatu, à Ascu, Calasima, Verghju, mais aussi à Vizzanova, Capanelle, Verde, Cuzza et Bavedda. Le GT 20 a pour vocation de structurer une offre globale de cyclotourisme en Corse sous ses différentes modalités: vélo de route, VTT et, petite nouveauté, vélo à assistance électrique. Nous allons créer la dorsale du tracé et y reconnecter des boucles cyclistes locales qui existent déjà dans certaines intercommunalités ou qui sont en cours de structuration, notamment en Plaine Orientale et en Balagne.
En même temps, vous dévoilez un second itinéraire dénommé INTENSE.
Quelle est la différence avec le GT20 ?
INTENSE est un itinéraire transfrontalier touristique durable novateur sur bien des plans et plutôt côtier. Il y a quelques mois, nous avons été retenus dans le cadre du programme INTERREG Marrittimo en collaboration avec la Toscane, la Ligurie, la Sardaigne et la Région PACA pour identifier des tronçons de parcours cyclo-touristiques sur des itinéraires emblématiques dans chacune de nos régions. Nous avons, donc, créé le parcours INTENSE (Itinerari turisticu sostenibili) qui ne couvre, chez nous, que l’Ouest de l’île, de la Balagne à Portu, en impliquant fortement les intercommunalités parcourues, mais toujours dans une interconnexion méditerranéenne. INTENSE s’inscrit, ainsi, dans les Routes européennes du cyclotourisme.
Les deux parcours ne se font-ils pas concurrence ?
Non! Le parcours INTENSE n’est pas du tout antinomique avec le GT20. Il propose une découverte de l’île et des visites en slow-tourisme et permet d’articuler un double parcours, par exemple, en Toscane et en Corse. Il est très complémentaire du GT20 auquel il viendra s’arc-bouter par une transversale Maree Monti dans le même esprit que celles qui existent déjà sur le GR20.-Pourquoi un telle offre dans le cyclotourisme?-Nous partons du constat que la Corse a un capital naturel d’exception. Ce n’est pas une nouveauté, mais nous voulons le faire découvrir sur un mode de mobilité douce avec un credo qui est la transition écologique, c’est-à-dire la protection de l’environnement. La Petite Reine offre un mode de découverte qui permet d’appréhender complètement les ressources naturelles de l’île, ses paysages exceptionnels, à un rythme qui dépend du touriste lui-même et qui est faiblement impactant en termes environnemental et en termes de CO2. L’ATC, dans sa feuille de route, a développé un cluster «Activités de pleine nature» en partenariat avec les professionnels du secteur. La Corse est devenue un grand terrain de jeu pour ce type d’activités. Nous pensons qu’il est absolument nécessaire de coordonner toutes ces offres et de faire en sorte qu’elles aient le moins d’impacts possibles sur l’environnement.
Oui! C’est un marché très florissant. La pratique cyclo-touristique est en plein développement. D’autres régions françaises ont des Grandes traversées. INTENSE est un partenariat avec d’autres parcours européens. Mais l’originalité de la Corse, c’est bien évidemment ses dénivelés et ses paysages. A chaque coup de pédale et à chaque tournant, un paysage nouveau surgit. L’offre est vraiment multiple. Je crois que là, on va vraiment frapper un grand coup !
Que proposez-vous exactement ?
Juste une proposition de tracé avec une logistique et une offre en hébergement: campings, hôtels... Mais aussi une logistique pour rapatrier les vélos et des bornes électriques sur tout le parcours pour les vélos électriques. Six bornes électriques ont déjà été placées à l’initiative de l’entreprise APPeBIKE sur la base d’une collaboration.Nous nous félicitons de ce partenariat avec cette start-up corse qui a déjà reçu des prix pour son innovation en termes de tourisme. Un partenariat sera prochainement noué avec les entreprises Bosch et Michelin, mais aussi avec d’autres, pour que ce grand tracé, auquel viendront se connecter les transversales et les petites boucles locales, soit le plus professionnel possible. Ensuite, chacun l’empruntera à son rythme. Comme le GR20, tout le monde ne pourra pas le faire dans son intégralité en dix jours.
Quel public ciblez-vous ?
L’activité cyclo-touristique se pratique, déjà dans l’île, en famille sur des petits parcours en boucle locale ou autour de la résidence dans l’aire de location. Nous ciblons, bien évidemment, les sportifs aguerris, qui aiment les performances et qui pourront attaquer les étapes de 50 kms aux dénivelés extraordinaires de 500 ou 600 mètres et même parfois de 1000 mètres puisque le tracé passe par les principaux cols de l’île. Mais aussi les jeunes, amateurs de VTT et tous les adeptes des activités de pleine nature. Les gens, qui ne sont pas très sportifs, ou les familles pourront utiliser le vélo à assistance électrique.Ceux, qui font du slow tourisme, pourront choisir de rester sur le plat. Ceux, qui veulent coupler plusieurs activités, pourront faire des variantes du GR20 et du GT20. Les plus téméraires pourront s’adonner au cyclotourisme de route sur des étapes plus longues avec des circuits raccordés à la dorsale.
Quel est le profil du cyclotouriste ?
Le cyclotouriste aguerri appartient à une catégorie socioprofessionnelle élevée à forts revenus élevés. Un vélo de route coûte relativement cher. Au terme de leurs étapes, ces personnes, qui suivent souvent des régimes alimentaires particuliers, souhaitent trouver des hébergements et une restauration de qualité. Les pays nordiques, la Belgique et l’Allemagne sont très friands de ce type d’activités.
Quel sera le coût de ces deux itinéraires ?
En ce qui concerne le GT20, l’ingénierie de l’ATC met en place le tracé et un service de coordination en collaboration avec les intercommunalités concernées et les professionnels. Financièrement, cette opération ne coûtera quasiment rien. Concernant INTENSE, le budget total est de 5 millions € et pourrait être abondés dans les mois à-venir. 85% de cette somme sont financés par les fonds FEDER.
Quelles retombées économiques escomptez-vous?
La première est un rééquilibrage au niveau des territoires, la dorsale passe dans l’intérieur et le rural qui pourront bénéficier de retombées économiques directes. La seconde est la création d’entreprises. Grâce à une coordination avec les professionnels du tourisme, nous proposerons des offres adaptées. De nouveaux opérateurs de tourisme, des start-up, mettront en place des produits combinant location et rapatriement de vélos, des hébergements, des offres en gastronomie ou en bien-être pour la détente et le repos avec notamment des SPA. Des grandes marques veulent se développer autour de la montagne et souhaitent que l’ATC portent des projets. Nous allons créer une économie autour du cyclotourisme. Enfin, cela va booster le tourisme hors-saison parce qu’en plein mois d’août, il y a trop de circulation sur les routes et il fait trop chaud pour faire du vélo.
Avez-vous chiffré ces retombées ?
Pas encore! Selon Atout France, un vacancier cyclo-touristique dépense, en moyenne, 30 % de plus qu’un touriste classique. Une étude analysera les impacts cette année, mais nous sommes très confiants sur les retombées économiques.
La première est un rééquilibrage au niveau des territoires, la dorsale passe dans l’intérieur et le rural qui pourront bénéficier de retombées économiques directes. La seconde est la création d’entreprises. Grâce à une coordination avec les professionnels du tourisme, nous proposerons des offres adaptées. De nouveaux opérateurs de tourisme, des start-up, mettront en place des produits combinant location et rapatriement de vélos, des hébergements, des offres en gastronomie ou en bien-être pour la détente et le repos avec notamment des SPA. Des grandes marques veulent se développer autour de la montagne et souhaitent que l’ATC portent des projets. Nous allons créer une économie autour du cyclotourisme. Enfin, cela va booster le tourisme hors-saison parce qu’en plein mois d’août, il y a trop de circulation sur les routes et il fait trop chaud pour faire du vélo.
Avez-vous chiffré ces retombées ?
Pas encore! Selon Atout France, un vacancier cyclo-touristique dépense, en moyenne, 30 % de plus qu’un touriste classique. Une étude analysera les impacts cette année, mais nous sommes très confiants sur les retombées économiques.
Corse Matin, A vélo de l’Italie à la Corse, en passant par les Alpes-Maritimes (26/08/2018).
C'est le scénario privilégié pour la période2017-2019 par le programme européen "Intense", auquel l'agence de tourisme de la Corse s'est ralliée. L'intérêt est de positionner l'île en tant que destination cyclotouristique.
Le vélo suscite un engouement croissant parmi les vacanciers. Il offre la possibilité de promouvoir les notions de mobilité douce et de développement durable. Il est, par conséquent, en mesure d'apporter une contribution positive au tourisme dans l'île.
Ces paramètres ont amené l'agence de tourisme de la Corse (ATC) à suivre le mouvement cyclotouristique appareillé au programme européen transfrontalier "Intense", ou plutôt "Itinerari turisticu sostenibili", piloté par la Toscane. Le parcours envisagé inclut vélo et randonnée pédestre. Exercice physique et grand bol d'air frais assurés, tandis qu'émerge un axe touristique Corse-Italie avec une escale du côté des Alpes-Maritimes.
Le cadre général est fixé et le plan de financement est établi."Le budget global dépasse 5 millions d'euros dont 85 % proviennent du Fonds européen de développement régional (Feder). La part de l'ATC s'élève à 420 000€avec 85 % de fonds Feder une fois de plus", précise Nanette Maupertuis, présidente de l'ATC.
Dans le programme "Intense", qui s'étale sur trois années -2017-2019 -figure aussi un objectif fédérateur."Il réunit quatorze partenaires issus de cinq régions : Ligurie, Toscane, Sardaigne, Var, Alpes-Maritimes et Corse", complète la présidente.
C'est le scénario privilégié pour la période2017-2019 par le programme européen "Intense", auquel l'agence de tourisme de la Corse s'est ralliée. L'intérêt est de positionner l'île en tant que destination cyclotouristique.
Le vélo suscite un engouement croissant parmi les vacanciers. Il offre la possibilité de promouvoir les notions de mobilité douce et de développement durable. Il est, par conséquent, en mesure d'apporter une contribution positive au tourisme dans l'île.
Ces paramètres ont amené l'agence de tourisme de la Corse (ATC) à suivre le mouvement cyclotouristique appareillé au programme européen transfrontalier "Intense", ou plutôt "Itinerari turisticu sostenibili", piloté par la Toscane. Le parcours envisagé inclut vélo et randonnée pédestre. Exercice physique et grand bol d'air frais assurés, tandis qu'émerge un axe touristique Corse-Italie avec une escale du côté des Alpes-Maritimes.
Le cadre général est fixé et le plan de financement est établi."Le budget global dépasse 5 millions d'euros dont 85 % proviennent du Fonds européen de développement régional (Feder). La part de l'ATC s'élève à 420 000€avec 85 % de fonds Feder une fois de plus", précise Nanette Maupertuis, présidente de l'ATC.
Dans le programme "Intense", qui s'étale sur trois années -2017-2019 -figure aussi un objectif fédérateur."Il réunit quatorze partenaires issus de cinq régions : Ligurie, Toscane, Sardaigne, Var, Alpes-Maritimes et Corse", complète la présidente.
À ce stade de la démarche, la stratégie consiste à choisir une fois pour toutes entre les différentes propositions de tracés, avant de passer à l'étape suivante, c'est-à-dire au relevé de terrain. Ainsi progresse "Intense".
Avant et après saison
D'ores et déjà, à l'échelon local, la réflexion stratégique occupe une place prépondérante, tandis que le programme européen se décline en pistes d'action. Depuis l'ATC, on a repéré l'opportunité"de proposer des séjours plus longs d'une durée moyenne de trois semaines, en connexion avec la Sardaigne ou la Toscane".
Dans le même élan, on compte aussi resserrer les liens avec les tours-opérateurs du secteur, engager une communication spécifique afin de positionner la Corse en tant que destination cyclotouristique accessible à une clientèle très large.
Pour inciter les touristes à visiter l'île à la force du mollet, l'ATC entend encore équiper les sites touristiques de référence avec un stationnement vélo sécurisé, sensibiliser les hébergeurs aux attentes des voyageurs adeptes de la petite reine, comme des aires de stationnement, des informations précises sur les différents circuits, ou encore du matériel de réparation.
Depuis l'agence du tourisme, on a également décidé de"favoriser l'intermodalité, en créant les meilleures conditions d'embarquement possibles à bord des ferries et des avions".
D'autres objectifs seront à atteindre, comme"le maillage du territoire à travers la réalisation de boucles cyclosportives qui assureront la jonction avec l'itinéraire transfrontalier". Les projets d'escapade coïncideront, entre autres, à Ajaccio, avec le projet "Mare e terra" de La Parata, au petit Capo et aux Milelli, avec la voie douce entre San-Nicolao et Moriani en Costa Verde, ou encore à Solaro ou en Centre Corse. Autant d'infrastructures cyclables en cours de réalisation grâce à l'impulsion de l'Europe, des intercommunalités concernées et de l'ATC.
Dans ce périmètre, le cyclotourisme apparaît comme"un bon moyen de doper l'avant et l'après saison", lorsque le climat est le plus favorable à la pratique et le réseau routier secondaire peu fréquenté. Au-delà, l'ampleur des enjeux économiques se déduit aisément des données disponibles. D'après la dernière étude "info tour", le cyclotourisme à l'échelle de l'Europe représente 7,5 milliards d'euros dépensés, quatre millions de séjours et 16 500 emplois touristiques.
Les vacanciers à vélo préfèrent le séjour entre amis ou en famille. Ils sont plutôt cadres supérieurs et représentants de professions libérales.
La France occupe la seconde place des destinations européennes cyclotouristiques. Après l'Allemagne
Avant et après saison
D'ores et déjà, à l'échelon local, la réflexion stratégique occupe une place prépondérante, tandis que le programme européen se décline en pistes d'action. Depuis l'ATC, on a repéré l'opportunité"de proposer des séjours plus longs d'une durée moyenne de trois semaines, en connexion avec la Sardaigne ou la Toscane".
Dans le même élan, on compte aussi resserrer les liens avec les tours-opérateurs du secteur, engager une communication spécifique afin de positionner la Corse en tant que destination cyclotouristique accessible à une clientèle très large.
Pour inciter les touristes à visiter l'île à la force du mollet, l'ATC entend encore équiper les sites touristiques de référence avec un stationnement vélo sécurisé, sensibiliser les hébergeurs aux attentes des voyageurs adeptes de la petite reine, comme des aires de stationnement, des informations précises sur les différents circuits, ou encore du matériel de réparation.
Depuis l'agence du tourisme, on a également décidé de"favoriser l'intermodalité, en créant les meilleures conditions d'embarquement possibles à bord des ferries et des avions".
D'autres objectifs seront à atteindre, comme"le maillage du territoire à travers la réalisation de boucles cyclosportives qui assureront la jonction avec l'itinéraire transfrontalier". Les projets d'escapade coïncideront, entre autres, à Ajaccio, avec le projet "Mare e terra" de La Parata, au petit Capo et aux Milelli, avec la voie douce entre San-Nicolao et Moriani en Costa Verde, ou encore à Solaro ou en Centre Corse. Autant d'infrastructures cyclables en cours de réalisation grâce à l'impulsion de l'Europe, des intercommunalités concernées et de l'ATC.
Dans ce périmètre, le cyclotourisme apparaît comme"un bon moyen de doper l'avant et l'après saison", lorsque le climat est le plus favorable à la pratique et le réseau routier secondaire peu fréquenté. Au-delà, l'ampleur des enjeux économiques se déduit aisément des données disponibles. D'après la dernière étude "info tour", le cyclotourisme à l'échelle de l'Europe représente 7,5 milliards d'euros dépensés, quatre millions de séjours et 16 500 emplois touristiques.
Les vacanciers à vélo préfèrent le séjour entre amis ou en famille. Ils sont plutôt cadres supérieurs et représentants de professions libérales.
La France occupe la seconde place des destinations européennes cyclotouristiques. Après l'Allemagne

Nanette Maupertuis, conseillère exécutive de Corse, en charge des affaires européennes, présidente de l'Agence de Tourisme de la Corse (ATC), et Attilius Ceccaldi, président de l'OTI L'Ile-Rousse-Balagne, signent le Programme européen INTENSE.
Corse net infos, Ile Rousse : Un programme européen « INTENSE » pour créer des itinéraires touristiques durables ( 07/08/2017).
Ile Rousse : Un programme européen «INTENSE» pour créer des itinéraires touristiques durables
Jean-Paul-Lottier le Lundi 7 Août 2017 à 20:03
A l'occasion du lancement officiel du Schéma d'aménagement et de développement touristique de l'Ile-Rousse-Balagne, l'Office de Tourisme Intercommunal a procédé, lundi matin, à la signature du Programme européen INTENSE-Itinerari Turistici Sostenibili», un programme stratégique de partenariat européen pour promouvoir et protéger des itinéraires touristiques durables et transversaux.
C'est sur la plage, à la Casa di Losari, point d'information touristique, que le programme a été signé entre Nanette Maupertuis, conseillère exécutive de Corse, en charge des affaires européennes, présidente de l'Agence de Tourisme de la Corse (ATC), et Attilius Ceccaldi, président de l'OTI L'Ile-Rousse-Balagne. Une signature importante, en présence de Lionel Mortini, président de la Communauté de Communes L'Ile-Rousse-Balagne, maire de Belgodère, Antoinette Salducci, conseillère Départementale L'Ile-Rousse-Balagne, Jean-Louis Massiani, maire de Novella, Bénédicte Benoît-Sisco, représentante du Conservatoire du Littoral, Jean-Michel De Marco, directeur de l'OTI L'Ile-Rousse -Balagne....
Un nouveau territoire
Pour mieux comprendre l'importance du Schéma touristique et du programme INTENSE, il est utile de rappeler que, dans la cadre de la mise en œuvre de la Loi NOTRE et de la création de la nouvelle communauté de communes de l'Ile-Rousse-Balagne, issue de la fusion des intercommunalités di E Cinque Pieve et du bassin de vie de l'Ile-Rousse, l'Office du Tourisme de l'Ile-Rousse est devenu, de fait,compétent pour promouvoir et valoriser un nouveau territoire de 22 communes. Ce territoire, plus vaste que le précédent, dispose d'atouts permettant de créer une synergie totale entre les espaces littoraux et ceux du piémont et de l’arrière-pays.
Promouvoir le territoire du piémont et de l’arrière-pays
A cet effet, les Offices de tourisme existant auparavant sur les Cinque pieve, à savoir Lama et Olmi-Cappella, sont passés sous l'égide de l'OTI de l'Ile-Rousse-Balagne, sous forme de Bureaux d'Information Touristique (BIT). Ces deux bureaux, issus du rural, ont été complétés par un nouveau, situé sur le littoral Est de la Balagne, sur la plage de Losari. Ce site, cédé au Conservatoire du Littoral par la Commune de Belgodere, a été totalement réhabilité, avec notamment la création d'un parcours de promenade menant à la tour génoise et ouvert à tout public. C'est là, plus précisément à la Casa di Losari, que le nouveau BIT a pris ses quartiers. Ce bureau a pour vocation d’informer sur toute l'offre touristique dont la région dispose et de promouvoir le territoire du piémont et de l’arrière-pays.
Un site de VTT
Dans le cadre de la politique, initiée par la Comcom de l’Ile Rousse-Balagne, en faveur d’un développement touristique de découverte, tourné vers les sports de pleine nature, et dans le droit fil des réalisations déjà effectuées en ce sens, -tel que le Schéma Territorial de Randonnée Balagne et le schéma du bassin de vie de l’Ile-Rousse dédié au pédestre -, un site FFC-VTT a été mis en place. C'est à l’Office du Tourisme qu'il revient de le promouvoir au travers notamment de sa centrale de réservation.
Initier des parcours de cyclotourisme sur route et sur sentiers
Dans la continuité du déploiement des actions en faveur des sports de pleine nature, l'OTI souhaite initier des parcours de cyclotourisme sur route, mais également sur sentiers.Ces parcours pourront être ouverts aux VTC et VTT mais également et surtout aux VTC et VTT à assistance électrique. Cela permettra notamment d’irriguer les villages au départ des espaces littoraux et notamment de l’Ile-Rousse et Losari.
Le programme INTENSE d'itinéraires durables
A cet égard, l’Agence du Tourisme de la Corse, partenaire du projet « INTENSE-Itinerari Turistici Sostenibili» dans le cadre du programme européen Interreg Marittimo, a émis un appel à candidature pour la mise en place d'actions visant à améliorer l’efficacité de l’action publique. Le but est de conserver, protéger, favoriser et développer le patrimoine naturel et culturel de la zone de coopération par l’identification et la gestion intégrée d’un système d’itinéraires touristiques durables et transversaux, notamment par la promotion touristique du cyclotourisme.
Un parcours expérimental
L'Office du Tourisme de l'Ile-Rousse-Balagne s'est donc positionné et a été retenu sur un plan d'action visant à définir un parcours expérimental maillé, à destination des cyclotouristes route, VTC et VTT, en y intégrant également des variantes dédiées aux VTT et VTC à assistance électrique. Il s'agira également d'organiser un événement autour de cette thématique.Pour cela, un budget de 150 000 €, financé à hauteur de 80% sur trois ans par le Fonds européen de développement régional (FEDER 2014-2020) a été alloué à l'opération.
Fort de cet outil, les élus de la communauté de communes de L’Ile Rousse-Balagne et le Comité de direction de l’Office ont souhaité positionner l'OTI au cœur des choix stratégiques de développement et d’aménagement touristiques du territoire, en étant non seulement force de proposition, mais pilote de certains projets majeurs et gestionnaire de site ou d’équipements touristiques.
L'importance et le rôle du Schéma d'Aménagement et de développement touristique
Dans le droit fil de cette volonté, différents projets sont en cours. L'un d'entre eux, le plus important, par son rôle prospectif en matière de vision de développement touristique de territoire à moyen terme, est le Schéma d'aménagement et de développement touristique que l'OTI s’apprête à lancer dès ce mois d’août. Soutenu à 70% par l'ATC, le montant de l'étude s'élève à 40 000 € HT. L’objectif de cette mission sera d’accompagner la Comcom etson Office de tourisme intercommunal dans la réalisation d’un Schéma d’aménagement et de développement touristique durable et d’un Schéma d’accueil et de diffusion de l’information.
Nous aurons l'occasion d'y revenir.
Ile Rousse : Un programme européen «INTENSE» pour créer des itinéraires touristiques durables
Jean-Paul-Lottier le Lundi 7 Août 2017 à 20:03
A l'occasion du lancement officiel du Schéma d'aménagement et de développement touristique de l'Ile-Rousse-Balagne, l'Office de Tourisme Intercommunal a procédé, lundi matin, à la signature du Programme européen INTENSE-Itinerari Turistici Sostenibili», un programme stratégique de partenariat européen pour promouvoir et protéger des itinéraires touristiques durables et transversaux.
C'est sur la plage, à la Casa di Losari, point d'information touristique, que le programme a été signé entre Nanette Maupertuis, conseillère exécutive de Corse, en charge des affaires européennes, présidente de l'Agence de Tourisme de la Corse (ATC), et Attilius Ceccaldi, président de l'OTI L'Ile-Rousse-Balagne. Une signature importante, en présence de Lionel Mortini, président de la Communauté de Communes L'Ile-Rousse-Balagne, maire de Belgodère, Antoinette Salducci, conseillère Départementale L'Ile-Rousse-Balagne, Jean-Louis Massiani, maire de Novella, Bénédicte Benoît-Sisco, représentante du Conservatoire du Littoral, Jean-Michel De Marco, directeur de l'OTI L'Ile-Rousse -Balagne....
Un nouveau territoire
Pour mieux comprendre l'importance du Schéma touristique et du programme INTENSE, il est utile de rappeler que, dans la cadre de la mise en œuvre de la Loi NOTRE et de la création de la nouvelle communauté de communes de l'Ile-Rousse-Balagne, issue de la fusion des intercommunalités di E Cinque Pieve et du bassin de vie de l'Ile-Rousse, l'Office du Tourisme de l'Ile-Rousse est devenu, de fait,compétent pour promouvoir et valoriser un nouveau territoire de 22 communes. Ce territoire, plus vaste que le précédent, dispose d'atouts permettant de créer une synergie totale entre les espaces littoraux et ceux du piémont et de l’arrière-pays.
Promouvoir le territoire du piémont et de l’arrière-pays
A cet effet, les Offices de tourisme existant auparavant sur les Cinque pieve, à savoir Lama et Olmi-Cappella, sont passés sous l'égide de l'OTI de l'Ile-Rousse-Balagne, sous forme de Bureaux d'Information Touristique (BIT). Ces deux bureaux, issus du rural, ont été complétés par un nouveau, situé sur le littoral Est de la Balagne, sur la plage de Losari. Ce site, cédé au Conservatoire du Littoral par la Commune de Belgodere, a été totalement réhabilité, avec notamment la création d'un parcours de promenade menant à la tour génoise et ouvert à tout public. C'est là, plus précisément à la Casa di Losari, que le nouveau BIT a pris ses quartiers. Ce bureau a pour vocation d’informer sur toute l'offre touristique dont la région dispose et de promouvoir le territoire du piémont et de l’arrière-pays.
Un site de VTT
Dans le cadre de la politique, initiée par la Comcom de l’Ile Rousse-Balagne, en faveur d’un développement touristique de découverte, tourné vers les sports de pleine nature, et dans le droit fil des réalisations déjà effectuées en ce sens, -tel que le Schéma Territorial de Randonnée Balagne et le schéma du bassin de vie de l’Ile-Rousse dédié au pédestre -, un site FFC-VTT a été mis en place. C'est à l’Office du Tourisme qu'il revient de le promouvoir au travers notamment de sa centrale de réservation.
Initier des parcours de cyclotourisme sur route et sur sentiers
Dans la continuité du déploiement des actions en faveur des sports de pleine nature, l'OTI souhaite initier des parcours de cyclotourisme sur route, mais également sur sentiers.Ces parcours pourront être ouverts aux VTC et VTT mais également et surtout aux VTC et VTT à assistance électrique. Cela permettra notamment d’irriguer les villages au départ des espaces littoraux et notamment de l’Ile-Rousse et Losari.
Le programme INTENSE d'itinéraires durables
A cet égard, l’Agence du Tourisme de la Corse, partenaire du projet « INTENSE-Itinerari Turistici Sostenibili» dans le cadre du programme européen Interreg Marittimo, a émis un appel à candidature pour la mise en place d'actions visant à améliorer l’efficacité de l’action publique. Le but est de conserver, protéger, favoriser et développer le patrimoine naturel et culturel de la zone de coopération par l’identification et la gestion intégrée d’un système d’itinéraires touristiques durables et transversaux, notamment par la promotion touristique du cyclotourisme.
Un parcours expérimental
L'Office du Tourisme de l'Ile-Rousse-Balagne s'est donc positionné et a été retenu sur un plan d'action visant à définir un parcours expérimental maillé, à destination des cyclotouristes route, VTC et VTT, en y intégrant également des variantes dédiées aux VTT et VTC à assistance électrique. Il s'agira également d'organiser un événement autour de cette thématique.Pour cela, un budget de 150 000 €, financé à hauteur de 80% sur trois ans par le Fonds européen de développement régional (FEDER 2014-2020) a été alloué à l'opération.
Fort de cet outil, les élus de la communauté de communes de L’Ile Rousse-Balagne et le Comité de direction de l’Office ont souhaité positionner l'OTI au cœur des choix stratégiques de développement et d’aménagement touristiques du territoire, en étant non seulement force de proposition, mais pilote de certains projets majeurs et gestionnaire de site ou d’équipements touristiques.
L'importance et le rôle du Schéma d'Aménagement et de développement touristique
Dans le droit fil de cette volonté, différents projets sont en cours. L'un d'entre eux, le plus important, par son rôle prospectif en matière de vision de développement touristique de territoire à moyen terme, est le Schéma d'aménagement et de développement touristique que l'OTI s’apprête à lancer dès ce mois d’août. Soutenu à 70% par l'ATC, le montant de l'étude s'élève à 40 000 € HT. L’objectif de cette mission sera d’accompagner la Comcom etson Office de tourisme intercommunal dans la réalisation d’un Schéma d’aménagement et de développement touristique durable et d’un Schéma d’accueil et de diffusion de l’information.
Nous aurons l'occasion d'y revenir.